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Du rififi chez les hommes

11 Décembre 2013, 17:03 Le braquage parfait

(1955, de Jules Dassin)

(1955, de Jules Dassin)

Tony le Stéphanois sort de cinq ans de « cabane », malade et fatigué. Dans un cabaret, tl retrouve Mado, qui s’est mise avec un autre. Il accepte de faire un gros coup dans une bijouterie, avec Joe, Mario et César le Milanais, un expert du perçage de coffres.

L’histoire et le style ressemblent de près à Quand la ville dort (The Asphalt Jungle) de John Huston : la préparation et la mise en place d'un cambriolage apparemment parfait. Dassin reprend l’idée de filmer le casse sans musique et sans parole, mais l’améliore et en fait une séquence d’une demi-heure où tout est minutieusement décrit. Les acteurs sont très bien, l’ambiance sonore et les images soignées à la perfection. Jules Dassin réussit le mélange d'un style à l'Américaine avec le monde des truands parisiens. 

Du caviar de film noir !

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